J’apporte mon soutien. Je pose une question au gouvernement. Pour une raison simple : je crois à la valeur du travail. Qui, aujourd’hui, n’est pas reconnu, pas payé comme il le faut : comment accepter que, aujourd’hui, des salariés peinent à vivre de leur boulot ?
Industrie : des taxes aux frontières
Pour que nos usines ne partent plus, et même reviennent, il faut des taxes aux frontières, des barrières douanières, des quotas d’importations.
La mondialisation nous a dépouillés, et nous voilà tout nus quand la crise Covid fut venue : sans masques, sans surblouses, sans médicament. Je continuerai à le prôner dans l’hémicycle : une démondialisation, organisée, s’impose.